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tatoopatt

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8 juillet 2007

Tatoo

                         logo       bonjour4



                    (CESSATION D`ACTIVITé POUR RAISON DE SANTé)         




                                   seance Tatoo

Vous desirez faire un tatouage:               
   Il faut choisir un motif.J`ai un book de dessins, mais vous pouvez aussi emmener vos idees pour les dessiner, dessins ou images, que je peut modifier selon votre choix .

Le jour du tatouage:   
   Il est recommande d'avoir mange avant la seance, et d'essayer dans la mesure du possible de ne pas venir stresse.   

   D`autre part il est imperatif de ne boire aucun alcool, de ne prendre aucun stupefiant ces deux produits liquefient le sang, ce qui vous fera saigner et rejeter une partie de l'encre, impliquant une seance supplementaire pour  "reencrer".

Derroulement de la seance:                                                               
   Je procede alors a un nettoyage antiseptique de la zone a tatouer; ensuite, a main levee au feutre , je dessine le motif, ou par transfer, puis le tatouage au dermographe peut commencer.
Quant le tatouage est termine, j`applique un pansement et explique les soins a effectuer.

Je demande aux personnes tatouees de revenir 10 jours apres afin de verifier le travail, de faire des retouches si il y a lieu  (ceci est gratuit).

Prix:                                                                                                   
   Les prix des tatouages varient selon la taille et la complexite du motif.Le prix minimum d'un tatouage commence a 40 Euro...

                kette2

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7 juillet 2006

soins

                               soins

Le pansement doit etre retire 6 heures apres ou le lendemain de votre seance de tatouage.
Lavez a l'eau tiede et sechez proprement.


Appliquez et faites penetrer une fine couche de creme:
( cycatril, bepanthène, homeoplasmine, biafine)3 fois par jour durant 7 jours .
La meilleure étant cycatril; les autres crèmes cicatrisent trop vite et la bepanthéne cause parfois des allergies.

Laisser le tatouage à l'air le plus souvent possible.

Pas de bain, ni piscine, ni mer jusqu'a guerison complete.
Juste douche, eau tiede sans frotter .

Pas d'exposition au soleil .
**(application d'ecran total, haut indice pour l`étè)**


Ne pas gratter d'eventuelles croutes.
Ne pas nettoyer a l'alcool.
Vetements amples en coton.

Desormais, la guerison de votre tatouage
depend des soins que vous lui porterez

                        <;-) ...

7 juillet 2006

Contact

  MONTPELLIER (34) 

 

               soleil         tatoopatt@gmail.com   

.

7 juillet 2006

Histoire du tatoo

......
 

UN PEUX D'HISTOIRE SUR LE TATOUAGE


Le dermographe enfonce ses aiguilles sous votre épiderme, votre chair boit l'encre, le dessin commence apparaitre ... le tatoueur essui le sang et vous pouvez contempler l'oeuvre d'art qui vient de naitre sur votre corps !!! Une fois le travail fini, vous soufflez enfin, et vous regardez le résultat ... pour le moment la peau, la chair est un peu boursoufflée ... mais d'ici quelques heures, vous pourrez observer et apprécier le travail de l'artiste !!!

Le dermographe est composé d'éléments non stérilisables (électro-aimants), mais aussi d'éléments qui devraient être stérilisés (manchon, tige porte-aiguille et buse).

La buse, qui permet de guider l'aiguille est en contact direct avec la peau de la personne tatouée.

Selon les caractéristiques du tatouage (épaisseur des traits, remplissage avec des couleurs), une ou plusieurs aiguilles sont soudées simultanément sur la tige du dermographe.

Les aiguilles de tatouage sont très fragiles : il n'est pas rare qu'un seul tatouage en nécessite plusieurs. Elles sont donc toujours à usage unique.

Dernier élément du matériel nécessaire au tatouage, les encres composées de pigments de couleurs variées permettent la réalisation du dessin. L'encre est "incrustée" dans le derme grâce au mouvement de frappe de l'aiguille sur la peau.


Les capsules où sont versées les encres nécessaires à un client sont à usage unique et le contenu restant est jeté après chaque client.

Tous les tatoueurs rencontrés portent des gants pour travailler.

Le tatouage a presque toujours existé. Que ce soit pour se distinguer de la masse, afficher sa rébellion ou pour exhiber sa classe sociale, toutes les raisons ont toujours été et seront toujours bonnes pour passer à l'action. Les techniques ont évolué, se sont multipliées, amenant ainsi plusieurs dérivés de l'art corporel comme le body piercing.

ORIGINE

Les tatouages ne sont pas nés d'hier ! En vérité, les premiers signes remontent à 5 000 ans avant Jésus-Christ. Provenant de statuettes funéraires découvertes dans des tombeaux japonais, ils servaient d'accompagnement aux morts dans leur voyage vers l'au-delà. À cette époque, on attribuait aux tatouages des propriétés magiques et religieuses. Simple croyance d'une autre époque ? Peut-être pas. Les superstitions appartiennent à tous les temps .

Le tatouage fut pratiqué par les Egyptiens dès 2000av.J.-C. Les tatouages en couleurs se développèrent fortement chez les Maoris de Nouvelle-Zélande et furent pendant un temps une forme d'ornement prisée en Chine, en Inde et au Japon. On pensait que les tatouages offraient une protection contre la malchance ou la maladie. Ils servaient aussi à identifier le statut ou le rang, ou l'appartenance à un groupe. Leur utilisation la plus courante, cependant, était une forme de décoration.

Darwin faisait remarquer dans ses ouvrages qu’il n’existe aucun peuple sur cette planète qui ne connaisse cette pratique. On en signale, selon les témoignages, sur des figures historiques tels que Hérodote, Marco-Polo, et bien entendu James Cook.

Les techniques n’ont guère évolué au cours des siècles. Cette méthode de décoration de la peau est donc une insertion de substances colorées sous la surface. La peau est perforée avec un instrument pointu, aiguille faite de matériaux divers (os, ivoires, dents, métaux, aciers) qui entraîne les pigments sous l’épiderme. Tout le problème étant de ne pas dépasser l’épiderme afin de ne pas perforer le derme, ceci afin d'éviter une diffusion du pigment. Le pigment s’enkyste alors entre l’épiderme et le derme.

Afin d’illustrer la variété des techniques de tatouages, la pratique Inuïte est particulièrement révélatrice de l’ingéniosité dans ce domaine. En effet, ces derniers passent sous la peau une aiguille suivie d’un fil enduit de noir de fumée brodant ainsi le motif désiré. Les Thaïs et Cambodgiens quant à eux procèdent par grattage à l’aide d’un instrument muni de pointes effilées. En Extrême-Orient et dans le Pacifique, on utilise une sorte de petit râteau dont les dents sont constituées d’aiguilles ou de pointes d’os. Ce râteau est tenu d’une main par le tatoueur et est frappé de l’autre par un maillet. Les Japonais, quant à eux, utilisent des séries de baguettes dont le bout est doté de faisceau d’aiguilles pour exceller dans leur spécialité du « bokashi », à savoir les plus beaux dégradés du monde allant du noir profond au gris le plus clair.

Les pigments utilisés jadis, proviennent du noir de fumée, de coque de noix brûlées, de résines , de cendres ou bien de substances organiques, animales ou végétales mélangées à de l’alcool, de l’eau, du sperme, du sang ou des sucs végétaux. Les pigments actuels issus de l’industrie sont aseptisés ce qui ôte l’aspect folklorique mais rassure plus quant à la transmission de maladies.

Dans de nombreuses parties du monde, différents peuples utilisent le tatouage et la scarification pour indiquer le rang et l'appartenance sociale, ou comme signe de deuil. Ce peut être un moyen de camouflage ou une croyance religieuse. En Inde et au Tibet, les tatouages accompagnent les périodes difficiles de la vie : puberté, maternité, maladie ainsi que le deuil. Pour les habitants de Hawaï, le deuil était l’occasion d’un tatouage de points et de traits sur la langue alliant en cela sévices corporels et tatouages.

Il peut aussi être un talisman du type de ceux portés par le peuple karen lors de sa lutte pour son indépendance contre l’armée birmane, tatouage devant arrêter les balles de l’adversaire. C’est aussi parfois une médecine, comme chez les Berbères ou encore aux îles Samoa où l’on peut se faire tatouer contre les rhumatismes. Même démarches en Afrique dans le traitement d’affections oculaires ou de maux de tête ainsi que dans la protection contre les morsures de chiens ou de serpent et des risques de noyade. Les marins américains se tatouaient contre la noyade, un coq sur un pied et un cochon sur l’autre. Un Christ dans le dos évitait à ces derniers la flagellation sachant qu’aucun capitaine de vaisseau n’aurait oser fouetter l’image de Dieu. Si l’on peut douter des résultats de telles pratiques, force est de constater que l’on peut considérer le tatouage, fait dans de mauvaises conditions d’asepsie comme l’ancêtre du vaccin.

Cette pratique est devenue sujet de suspicion ces dernières années car les services sanitaires affirmaient que les aiguilles de tatouages contaminées propageaient des maladies infectieuses, en particulier l’hépatite et le sida. Tout à fait exact, si l’on ne prend pas les précautions reprises à la rubrique Hygiène et asepsie.

En 1891 est inventée, par Samuel O’Reilly, la première machine à tatouer électrique. Depuis lors le système est resté identique, électro-aimant, ressort et rupteur qui entraînent une aiguille ou un faisceau d’aiguilles. Cette aiguille ou faisceau sont guidés dans un manchon prolongé par une buse de guidage. L’encre réside dans la buse où elle monte par capillarité lorsque le tatoueur la plonge dans le godet d’encre. C'est le matériel actuellement utilisé par la majorité des tatoueurs professionnels et dont vous trouverez les revendeurs à la rubrique liens.

Le tatouage n'a pas toujours été vu comme étant un art. Pendant longtemps, on a pensé que c'était l'exclusivité des motards, des détenus ou des délinquants. Même autrefois, on lui attribuait une connotation souvent très négative, qui proviendrait de la Chine. En effet, vers la fin du 3e siècle après Jésus-Christ, plusieurs textes parlent déjà de la position des Chinois sur le tatouage en rapport avec la coutume japonaise. Ces derniers prônaient cette forme d'art comme étant une preuve de courage face à la douleur et de loyauté au groupe d'attache en vertu de la permanence du dessin.

De leur côté, les Chinois voyaient en cette technique indélébile un acte de barbarisme. Ils se servirent donc de cette méthode comme punition qu'ils infligeaient aux brigands et aux criminels pour les démarquer du reste de la société. Pour rajouter au supplice de ce marquage à vie, les symboles, qui restaient simples, étaient marqués sur les parties du corps les plus visibles, afin d'être repérés le plus rapidement possible par la communauté.

Malgré le fait que des gens tels que des avocats, des psychologues et même des policiers soient les nouveaux adeptes du tatouage, les préjugés sur ce genre artistique sont encore aujourd'hui bien ancrés dans la société.

Le tatouage traditionnel ne sera pas remplacé par quelque technique mystérieuse et encore ignorée (même de celui qui va l'inventer), mais plutôt par une méthode beaucoup plus moderne. Encore méconnue, l'invention a été brevetée il y a moins d'un an. Il s'agit d'un tatouage programmable. Se lasser du dessin tatoué était le plus gros problème : le voici réglé. Le concept a été mis au point par une équipe de chercheurs californiens. Il consiste à insérer un mince écran à cristaux liquides sous la peau du poignet. Le dessin affiché est visible à travers la peau et on peut le transformer grâce à une puce également implantée sous l'épiderme. On peut recharger la pile simplement en plaçant le poignet devant un chargeur. En plus des images, le tatouage électronique permet d'afficher sa température et sa pression sanguine grâce à des senseurs incorporés. On n'arrêtera jamais la technologie !

La pose du respect       Guerriers tatoués

Les origines du mot

Le mot "Tatouage" et ses emplois sont relativement récents dans notre langue. En fait, les francophones ne l'utilisent plus ou moins couramment que depuis la fin du siècle dernier (1890/1895). Auparavant, on usait de termes très approximatifs du genre "dessin gravé", "stigmate", "empreinte", "graphisme" ou bien encore, et parmi tant d'autres,"hiéropglyphe".


Le mot "Tatouage" et le verbe "Tatouer" n'ont fait leur entrée officielle qu'en 1856 et 1858, cela dans deux dictionnaires :

- Dictionnaire de Médecine du Belge P. Nysten

- le Littré.

Il est vrai qu'à l'époque, lorsque l'on usait du mot "Tatouage" c'était spécifiquement pour parler de celui des Tahitiens qui est lui, un authentique langage hiéroglyphique religieux entendu d'un bout à l'autre des archipels par les Tahowa ou hommes éclairés (les prêtres).


Les grands Tahowa, comparables à nos évêques, avaient aussi droit au titre d'Atouas et dans leurs sermons, rejoignant ainsi le fond commun de toutes les religions, ils prêchaient que la faveur et le pardon s'obtenaient, certes, par la prière et la méditation mais aussi en guise de pénitence par la représentation sur soi de l'esprit tracasseur.

L'insulaire s'en accommodait fort bien d'autant que par nature il restait très attaché au colifichet et à ce genre d'ornementation cutanée. C'était donc un plaisir pour lui que de se faire faire un Ta (dessin) d'Atouas, un "Taatouas", que le langage populaire déforma petit à petit en "Tatouas", puis en "Tatau" à Tahiti et en "Tataou" à Tonga.

Dès lors, on comprend mieux, étant donné la prononciation anglaise et sans doute pour le pittoresque que Banks, l'écrivain du capitaine James Cook l'écrivit "Tattow" dans les premier et quatrième tomes de ses relations de voyage aux îles de la Société et à Moutouiti en 1772, puis "Tattoo" dans son compte rendu circumnavigation en 1776.

Quant à notre version, nous la devons pour la première fois, en 1778, à un certain Suard, traducteur des Mémoires de Cook and Banks.Il le fait d'ailleurs, dit-il, parce qu'il n'a nulle part trouvé d'équivalent en français au terme anglais "Tattoing". Il crée donc le substantif "Tatouage" qui va désigner à la fois l'opération et le résultat de l'opération.

Les différents styles de tatouage :

Noir et Gris       

Le tatouage est fait avec des nuances de noir et de gris seulement. Ce modèle est venu des prisons de l'Amérique du Nord, lié à la difficulté des prisonniers d'obtenir de l'encre colorée. Quand plusieurs tatoueurs se sont rendus compte qu'il y avait grand potentiel artistique en l'adaptant pour l'usage dans des salons de tatouage en dehors des prisons.
Ils ont développé des modèles raffinés et détaillés qui sont très populaires de nos jours.


Le modèle traditionnel se rapporte au tatouage occidental ou américain: incluant des rouleaux de mots parmi des vignettes, des fleurs, des coeurs et des animaux décoratifs. Le modèle a été développé la première fois pour les salons placés près des bases militaires. La palette de couleur est limitée.

Ce type de tatouage est très stylisé, tout à fait bidimensionnel, et souvent exécuté avec peu de respect pour l'art. Les lignes tendent à être épaisses et grasses, les couleurs sont rarement ombragées ou réalistes, et les images tendent vers l'iconique, et peu d'effort fait pour faire des choses qui semblent réalistes. Les éléments communs de conception incluent des coeurs, des ancres, des oiseaux, des panthères, des fleurs simples (roses en particulier), et des noms.



Biomécanique

Un modèle popularisé par l'illustrateur H. R. Giger, le concepteur de la créature des films Aliens.

Le travail biomécanique implique habituellement la chair entremélée avec des machines.



Fineline


Contours sensibles, souvent fortement détaillés. Le succès du tatouage fini dépend beaucoup de l'utilisation de l'artiste de l'espace négatif, et de son aptitude à s'abstenir d'ajouter plus de détail. Un tatouage excessivement détaillé de fineline, ou un qui n'ont pas été soigneusement exécuté peut devenir horrible après quelques années.

La ligne fine essaye de reproduire un effet semblable au fait de regarder un schéma ou une peinture sur la peau.


Gras, noir, conceptions de modèle de silhouette. La majeure partie de ce travail est basée sur des conceptions antiques de tatouages des îles Pacifiques du sud. Ces conceptions, sont fortement basées sur les formes traditionnelles, sont habituellement abstraites. Mais ce n'est pas toujours le cas, car le tatoueurs ont modifié les conceptions traditionnelles.

La manière la plus facile de caractériser le "blackwork tribal" est qu'il se compose d'une combinaison d'éléments discrets de conception, dont chacun est d'un seul bloc, abstrait, et sans ombrage. On groupe ces éléments qui peuvent ou peuvent ne pas avoir une signification spécifique séparée.


Le tatouage celtique se rapporte à des modèles celtiques d'art et de conception. Rouleaux, les noeuds celtiques, et les éléments traditionnels de conception tels que des griffins et d'autres créatures mythological stylisées, bandes de bras utilisant des triskels ou des entrelacs.

La croix et le cercle celtiques sont aussi des motifs de cette catégorie. Habituellement fait juste en encre noire, il comporte quelques fois des couleurs de base comme le rouge.

Travail photographique de qualité, habituellement portraits ou scènes de nature. Images prises des photos, mieux faites par quelqu'un qui peut rendre des images photographiques réalistes (ils ne sont pas si nombreux). Habituellement fait en encre noire et grise. Le danger avec le travail réaliste finement pointillé est le même danger inhérent à tous les tatouages.


Ce mode de tatouage utilise le corps entier comme toile, plutôt que l'approche occidentale d'ajouter un tattoo ici et là. Le modèle oriental incorpore habituellement les modèles et les figures tourbillonnants de la mythologie orientale.

Technique du Tatouage :

La technique de base du tatouage n'a pas changé depuis l'aube de l'humanité, elle consiste à introduire des pigments noir ou de couleurs sous la peau.


Les Inuits (Esquimaux) tatouaient avec une aiguille et un fil enduit de noir de fumée, comme s'ils cousaient la peau. Les motifs étaient abstraits, composés de traits, pointillés, croix...On peut aussi tailler des formes sur la peau à l'aide d'une pierre taillée, puis introduire des pigments sur la cicatrice.

Les Cambodgiens, les Thaïs, les Birmans ainsi que d'autres peuples grattent la peau avec un instrument effilé (ce qui permet d'effectuer des tatouages complexes), cette technique était déja connue à la préhistoire et est toujours pratiquée par les indiens d'Amérique du nord.

En extrème-orient, on utilise un peigne qui peut mesurer jusqu'à 6cm hérisé (d'aiguilles, d'ivoire ou d'os taillé) et d'un maillet.

Au Japon, les tatoueurs utilise des baguettes d'aiguilles réunies par un fil pour exécuter des motifs. Suivant le motif, les baguettes contiennent de trois à vingt-sept aiguilles. Cette technique est toujours utilisée, par les tatoueurs traditionnel japonnais.

Au Maghreb, le tatouage était pratiqué avec une lancette appelé mechalta. C'est une tige d'acier de section carrée aiguisée en biseau à une extrémité et qui scarifie plus qu'elle ne pique. Dès que le sang se montre, le tatoueur fait pénétrer les colorants dans la plaie.

Dans les îles du Pacifique, on utilisait un peigne et un martelet. Pour fabriquer le peigne, les indigènes pouvaient utiliser une dent de requin, une grosse arête de poisson, un os d'oiseau, un coquillage acéré ou encore une écaille de tortue taillée en scie,il arrivai parfois que le tatoueur utilise les os de la dépouille d'un ennemi... L'outil était fixé sur un manche en bois, un morceau de bambou ou un bouchon que l'on venait percuter avec un maillet pour inciser la peau et y faire pénétrer le pigment. Depuis, la seule innovation, sont les dents du peigne qui ont été remplacées par du plexiglas, mais la technique reste la même encore de nos jours.

C'est le 8 Décembre 1891 que l'américain d'origine irlandaise Samuel O'Reilly dévoile sont invention : la machine à tatouer électrique (Cette dernière est basé sur une création initiale de Thomas Edison datant de 1876). Cette machine est celle qui est utilisée depuis plus d'un siècle par la plupart des tatoueurs professionnels (Avec quelques améliorations bien sur...)

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